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vendredi 20 octobre 2017

L’ÉVANGILE AU QUOTIDIEN : 1ère lect. Rm 4, 1-8 ; Ps 31 (32), 1-2, 5ab, 5c.11 ; Évangile ; Lc 12, 1-7.

 

20 octobre 2017
Vendredi, 28e Semaine du Temps Ordinaire année A — Année Impaire de la férie
     

Lectures de la messe

Première lecture

« Abraham eut foi en Dieu, et il lui fut accordé d’être juste » (Rm 4, 1-8)
Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Romains

Frères,
    que dirons-nous d’Abraham, notre ancêtre selon la chair ?
Qu’a-t-il obtenu ?
    Si Abraham était devenu un homme juste
par la pratique des œuvres,
il aurait pu en tirer fierté,
mais pas devant Dieu.
    Or, que dit l’Écriture ?
Abraham eut foi en Dieu,
et il lui fut accordé d’être juste.

    Si quelqu’un accomplit un travail,
son salaire ne lui est pas accordé comme un don gratuit,
mais comme un dû.
    Au contraire, si quelqu’un, sans rien accomplir,
a foi en Celui qui rend juste l’homme impie,
il lui est accordé d’être juste par sa foi.
    C’est ainsi que le psaume de David
proclame heureux l’homme à qui Dieu accorde d’être juste,
indépendamment de la pratique des œuvres :
    Heureux ceux dont les offenses ont été remises,
et les péchés, effacés.
    Heureux l’homme dont le péché
n’est pas compté par le Seigneur.
            – Parole du Seigneur.

Psaume

(Ps 31 (32), 1-2, 5ab, 5c.11)
R/ Tu es un refuge pour moi ;
de chants de délivrance, tu m’as entouré.
 (Ps 31, 7acd)

Heureux l’homme dont la faute est enlevée,
et le péché remis !
Heureux l’homme dont le Seigneur ne retient pas l’offense,
dont l’esprit est sans fraude !
Je t’ai fait connaître ma faute,
je n’ai pas caché mes torts.
J’ai dit : « Je rendrai grâce au Seigneur
en confessant mes péchés. »
Toi, tu as enlevé l’offense de ma faute.
Que le Seigneur soit votre joie !
Exultez, hommes justes !
Hommes droits, chantez votre allégresse !

Évangile

« Les cheveux de votre tête sont tous comptés » (Lc 12, 1-7)
Alléluia. Alléluia. 

Que ton amour, Seigneur, soit sur nous,
comme notre espoir est en toi !

Alléluia. (Ps 32, 22)

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    comme la foule s’était rassemblée par milliers
au point qu’on s’écrasait,
Jésus, s’adressant d’abord à ses disciples, se mit à dire :
« Méfiez-vous du levain des pharisiens,
c’est-à-dire de leur hypocrisie.
    Tout ce qui est couvert d’un voile sera dévoilé,
tout ce qui est caché sera connu.
    Aussi tout ce que vous aurez dit dans les ténèbres
sera entendu en pleine lumière,
ce que vous aurez dit à l’oreille dans le fond de la maison
sera proclamé sur les toits.
    Je vous le dis, à vous mes amis :
Ne craignez pas ceux qui tuent le corps,
et après cela ne peuvent rien faire de plus.
    Je vais vous montrer qui vous devez craindre :
craignez celui qui, après avoir tué,
a le pouvoir d’envoyer dans la géhenne.
Oui, je vous le dis : c’est celui-là que vous devez craindre.
    Est-ce que l’on ne vend pas cinq moineaux pour deux sous.
Or pas un seul n’est oublié au regard de Dieu.
    À plus forte raison les cheveux de votre tête sont tous comptés.
Soyez sans crainte :
vous valez plus qu’une multitude de moineaux. »
            – Acclamons la Parole de Dieu.

Office des lectures

Introduction

V/ Dieu, viens à mon aide,
R/ Seigneur, à notre secours.
Gloire au Père, et au Fils et au Saint-Esprit,
au Dieu qui est, qui était et qui vient,
pour les siècles des siècles.
Amen. (Alléluia.)

Hymne : Retournez-vous, voici l'Esprit

La Tour du Pin — CNPL
Retournez-vous, voici l'Esprit
Du Seigneur, au vent de la nuit,
Qui passe au monde ;
Accueillez-le, ne craignez rien ;
A la croisée de vos chemins,
Laissez-vous couvrir de son ombre.

N'alliez-vous pas vous desséchant
Dans vos lois de chair et de sang,
A perte d'être ?
Hébergez-le, vous renaîtrez,
Car Dieu travaille au plus secret :
Sa lumière luit aux ténèbres.

Ouvrez la fente de vos coeurs,
Et voyez celle du Seigneur,
L'arbre de vie ;
Rapprochez-les, restez greffés,
Buvez la sève désormais
Dont la plaie du Christ est remplie.

Et son Esprit brise les joints
Avec l'arbre mort du jardin
De sève humaine ;
Ne manquez pas ici le bond
Des derniers temps de création
Où l'amour de Dieu nous entraîne.

Ne rompez pas vos nouveaux liens :
Vous croîtrez avec l'Esprit Saint
Jusqu'à cette heure
Du Fils de l'homme éblouissant
Par tous les hommes de son sang
Qui l'auront choisi pour demeure.

Antienne

Seigneur, écoute ma prière, je frémis sous les coups de l'ennemi.

Psaume : 54 - I

2Mon Dieu, écoute ma prière,
n’écarte pas ma demande. *
3Exauce-moi, je t’en prie, réponds-moi ;
inquiet, je me plains.

4Je suis troublé par les cris de l’ennemi
et les injures des méchants ; *
ils me chargent de crimes,
pleins de rage, ils m’accusent.

5Mon cœur se tord en moi,
la peur de la mort tombe sur moi ; *
6crainte et tremblement me pénètrent,
un frisson me saisit.

7Alors, j’ai dit : « Qui me donnera des ailes de colombe ? +
Je volerais en lieu sûr ; *
8loin, très loin, je m’enfuirais
pour chercher asile au désert. »

9J’ai hâte d’avoir un abri
contre ce grand vent de tempête ! *
10Divise-les, Seigneur,
mets la confusion dans leur langage !

Antienne

Pour moi, vers Dieu j'appelle, et le Seigneur me sauvera.

Psaume : 54 - II

Car je vois dans la ville
discorde et violence : *
11de jour et de nuit, elles tournent
en haut de ses remparts.

Au-dedans, crimes et malheurs ;
12au-dedans, c’est la ruine : *
fraude et brutalité
ne quittent plus ses rues.

13Si l’insulte me venait d’un ennemi,
je pourrais l’endurer ; *
si mon rival s’élevait contre moi,
je pourrais me dérober.

14Mais toi, un homme de mon rang,
mon familier, mon intime ! *
15Que notre entente était bonne,
quand nous allions d’un même pas
dans la maison de Dieu !

[16]

Antienne

Décharge ton fardeau sur le Seigneur, il prendra soin de toi.

Psaume : 54 - III

17Pour moi, je crie vers Dieu ;
le Seigneur me sauvera. *
18Le soir et le matin et à midi,
je me plains, je suis inquiet.

Et Dieu a entendu ma voix,
19il m’apporte la paix. *
Il me délivre dans le combat que je menais ;
ils étaient une foule autour de moi.

20Que Dieu entende et qu’il réponde,
lui qui règne dès l’origine, *
à ceux-là qui ne changent pas,
et ne craignent pas Dieu.

21Un traître a porté la main sur ses amis,
profané son alliance : +
22il montre un visage séduisant,
mais son cœur fait la guerre ; *
sa parole est plus suave qu’un parfum,
mais elle est un poignard.

23Décharge ton fardeau sur le Seigneur :
il prendra soin de toi. *
Jamais il ne permettra
que le juste s’écroule.

24Et toi, Dieu, tu les précipites au fond de la tombe, +
ces hommes qui tuent et qui mentent. *
Ils s’en iront dans la force de l’âge ;
moi, je m’appuie sur toi !

Verset

V/ Tu m'apprends le chemin de la vie,
devant ta face, plénitude de joie.

Lecture : Négligence des prêtres (Ml 1, 1-14; 2, 13-16)

1.01 PROCLAMATION. Parole du Seigneur à Israël par l’intermédiaire de Malachie.
1.02 Je vous ai aimés, dit le Seigneur, et vous dites : « En quoi nous as-tu aimés ? » Ésaü n’était-il pas frère de Jacob ? – oracle du Seigneur. J’ai eu de l’amour pour Jacob
1.03 mais je n’ai pas aimé Ésaü. J’ai livré ses montagnes à la désolation, son héritage aux chacals du désert.
1.04 Si Édom déclare : « Nous avons été détruits, mais nous recommencerons, nous relèverons les ruines », ainsi parle le Seigneur de l’univers : « Qu’ils relèvent, eux ! Moi, je démolirai ! On les appellera “Territoire-de-méchanceté”, “Peuple-qui-met-en-colère-le-Seigneur-pour-toujours”.
1.05 Vos yeux le verront et vous direz : “Le Seigneur est grand par-delà le territoire d’Israël !” »
1.06 Un fils honore son père, et un serviteur, son maître. Si donc je suis père, où est l’honneur qui m’est dû ? Et si je suis maître, où est le respect qui m’est dû ? – déclare le Seigneur de l’univers à vous, les prêtres qui méprisez mon nom. Et vous dites : « En quoi avons-nous méprisé ton nom ? »
1.07 – En présentant sur mon autel un aliment impur. Mais vous dites : « En quoi t’avons-nous rendu impur ? » – En affirmant : « La table du Seigneur est méprisable ! »
1.08 Et quand vous présentez au sacrifice une bête aveugle, n’est-ce pas faire le mal ? Et quand vous présentez une bête boiteuse ou malade, n’est-ce pas faire le mal ? Offre-la donc à ton gouverneur ! Sera-t-il content de toi ? Te sera-t-il favorable ? – Le Seigneur de l’univers a parlé.
1.09 Et maintenant, apaisez donc le visage de Dieu, pour qu’il nous fasse grâce ! Cela est venu de vos mains. Vous sera-t-il favorable ? – Le Seigneur de l’univers a parlé.
1.10 Qui donc d’entre vous fermera les portes du sanctuaire, pour que vous n’allumiez plus en vain le feu sur mon autel ? Je ne prends aucun plaisir en vous, – dit le Seigneur de l’univers –, je ne désire plus l’offrande de vos mains.
1.11 Car du levant au couchant du soleil, mon nom est grand parmi les nations. En tout lieu, on brûle de l’encens pour mon nom et on présente une offrande pure, car mon nom est grand parmi les nations, – dit le Seigneur de l’univers.
1.12 Vous, cependant, vous le profanez en disant : « La table du Seigneur est impure ; méprisable, la nourriture qu’on en retire. »
1.13 Vous dites : « Quel ennui ! », et vous la dédaignez, – dit le Seigneur de l’univers. Vous apportez ce qui est volé, boiteux ou malade, et vous l’apportez en offrande ! Puis-je l’agréer de vos mains ? – dit le Seigneur.
1.14 Maudit soit le tricheur qui possède un mâle dans son troupeau, qui fait un vœu et qui sacrifie au Seigneur une bête mutilée ! Je suis un grand roi – dit le Seigneur de l’univers –, et mon nom inspire la crainte parmi les nations.
2.13 Et encore, une deuxième chose que vous faites : couvrir de larmes, de pleurs et de gémissements l’autel du Seigneur, car il ne fait plus attention à l’offrande et ne désire plus recevoir ce qui vient de vos mains.
2.14 Et vous dites : « Pourquoi cela ? » – C’est que le Seigneur a été témoin entre toi et la femme de ta jeunesse : tu l’as trahie, elle, ta compagne, la femme de ton alliance.
2.15 Un seul n’a-t-il pas fait la chair, et le souffle de vie qui est en elle ? Et que recherche-t-il ? Une descendance divine. Vous prendrez garde à votre souffle de vie : que nul ne trahisse la femme de sa jeunesse.
2.16 Car je hais la répudiation, – dit le Seigneur, Dieu d’Israël –, et celui qui se couvre d’un vêtement de violence, – dit le Seigneur de l’univers. Vous prendrez garde à votre souffle de vie et vous ne trahirez pas.

Répons


R/Grand est ton nom, Seigneur, parmi les nations.

De l'Orient à l'Occident, un sacrifice d'encens
est présenté à Dieu comme une offrande pure.

Ce que Dieu a purifié, toi, ne le dis pas souillé :
aux païens aussi il a donné la repentance
qui conduit à la vie.

DE LA CITE DE DIEU DE SAINT AUGUSTIN


Le vrai sacrifice 

Le vrai sacrifice, c'est toute action que nous accomplissons pour nous unir à Dieu en une société sainte ; c'est-à-dire toute action rapportée à cette fin, à ce bien par lequel nous pouvons être vraiment bienheureux. Il en résulte que la miséricorde elle-même, par laquelle on vient au secours de l'homme, si elle n'est pas accomplie pour Dieu, n'est pas un sacrifice. Car bien qu'il soit réalisé ou offert par l'homme, le sacrifice est une réalité divine, ce qui est le nom par lequel les anciens Latins le désignaient parfois. Par conséquent l'homme lui-même, consacré par le nom de Dieu et voué à Dieu, en tant qu'il meurt au monde et vit pour Dieu, l'homme lui-même est un sacrifice. Car cela aussi appartient à cette miséricorde qu'on se fait à soi-même. C'est pourquoi il est écrit : Fais miséricorde à ton âme en plaisant à Dieu. ~

Donc les œuvres de miséricorde, soit envers nous-même, soit envers le prochain, que nous rapportons à Dieu, sont de vrais sacrifices. Elles ne doivent donc pas être accomplies pour autre chose que nous libérer de la misère et par là nous rendre vraiment heureux. Car cela ne se réalise évidemment que par ce bonheur dont il est écrit : Mon bonheur, c'est d'être uni à Dieu. Il en résulte évidemment que toute la cité rachetée elle-même, c'est-à-dire le rassemblement et la société des saints, est offerte à Dieu comme un sacrifice universel par le grand prêtre qui s'est lui-même offert pour nous dans la Passion, afin que nous soyons le corps d'un tel chef, sous sa forme de serviteur. C'est elle, en effet, c'est son humanité qu'il a offerte, car c'est selon celle-ci qu'il est médiateur, qu'il est prêtre, qu'il est sacrifice.

C'est pourquoi l'Apôtre nous a d'abord exhortés à présenter nos propres corps en sacrifice saint, vivant, agréable à Dieu, en culte spirituel ; à ne pas nous conformer à ce monde, mais à nous réformer par le renouvellement de notre esprit ; et cela afin de savoir reconnaître quelle est la volonté de Dieu : ce qui est bon, ce qui est capable de lui plaire, ce qui est parfait. C'est ainsi que nous-mêmes constituons tout le sacrifice. Et alors il ajoute : Au nom de la grâce qui m'a été donnée, je le dis à chacun d'entre vous : n'ayez pas de prétentions au-delà de ce qui est raisonnable, soyez raisonnables pour n'être pas prétentieux, chacun selon la mesure de foi que Dieu lui a donnée en partage. En effet, comme nous avons plusieurs membres en un seul corps, que ces membres n'ont pas tous la même fonction, ainsi à plusieurs, nous sommes un seul corps dans le Christ, étant tous membres les uns des autres, chacun pour sa part. Et nous avons des dons qui diffèrent selon la grâce qui nous est accordée.

Voilà le sacrifice des chrétiens : à plusieurs nous sommes un seul corps dans le Christ. C'est ce que l'Église célèbre dans le sacrement de l'autel, bien commun des fidèles, où il lui est montré que dans cette réalité qu'elle offre, c'est elle-même qui est offerte.

Répons


R/ Jésus, tu es prêtre pour l'éternité !

Par la puissance d'une vie indestructible,
par le serment que fit le Seigneur.

Par son inlassable intercession,
par l'offrande que tu fis de toi-même.


Oraison

Dieu de puissance et de miséricorde, c'est ta grâce qui donne à tes fidèles de pouvoir dignement te servir ; accorde-nous de progresser sans que rien nous arrête vers les biens que tu promets.

Commentaire du jour

Saint Ignace de Loyola (1491-1556), fondateur des jésuites 
Lettre du 17/11/1555 (trad. Soleil Levant 1957, p. 169 rev. Tournay)

« Soyez sans crainte »

      Il me semble que vous devriez vous résoudre à faire avec calme ce que vous pouvez. Ne soyez pas inquiet de tout le reste, mais abandonnez à la divine Providence ce que vous ne pouvez pas accomplir par vous-même. Sont agréables à Dieu notre soin et notre sollicitude raisonnables pour mener à bien les affaires dont nous devons nous occuper par devoir. Ne plaisent pas à Dieu l'anxiété et l'inquiétude de l'esprit : le Seigneur veut que nos limites et nos faiblesses prennent appui en sa force et en sa toute-puissance, il veut que nous espérions que sa bonté suppléera à l'imperfection de nos moyens.

      Ceux qui se chargent d'affaires nombreuses, même avec une intention droite, doivent se résoudre à faire simplement ce qui est en leur pouvoir... Si on doit laisser de côté certaines choses, il faut s'armer de patience, et ne pas penser que Dieu attend de nous ce que nous ne pouvons pas faire. Il ne veut pas que l'homme s'afflige de ses limites... ; il n'est pas nécessaire de se fatiguer exagérément. Bien plus, lorsqu'on s'est efforcé d'agir de son mieux, on peut abandonner tout le reste à celui qui a le pouvoir d'accomplir tout ce qu'il veut.

      Plaise à la divine bonté de nous communiquer toujours la lumière de la sagesse, pour que nous puissions voir clairement et accomplir fermement son bon plaisir, en nous et dans les autres..., pour que nous acceptions de sa main ce qu'il nous envoie, en considérant ce qui a le plus d'importance : la patience, l'humilité, l'obéissance et la charité.

© AELF 2017

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